OpenAI TRAHIT Microsoft : La Clause Secrète à 13 Milliards ! 😱

https://www.youtube.com/watch?v=S2D3aQLeT6g

Et si le plus grand partenariat de la tech, cette alliance à 13 milliards de dollars qui semblait indestructible, était en réalité construite sur un château de cartes, prêt à s’effondrer à cause d’un seul mot ?

Salut à tous, j’espère que vous allez bien, c’est Alex de PassionTech, et aujourd’hui, on plonge dans une histoire qui a tout d’un thriller technologique : la guerre secrète, silencieuse mais féroce, qui se joue en coulisses entre OpenAI et Microsoft.

On les voit partout, main dans la main. Microsoft intègre les technologies d’OpenAI dans Windows, dans Office, dans son cloud Azure… OpenAI, de son côté, profite de la puissance de calcul et des milliards de Microsoft pour entraîner ses modèles comme GPT-4. C’est l’image d’Épinal de la collaboration parfaite.

Mais un document interne, qui n’aurait jamais dû fuiter, révèle une toute autre réalité. Un plan secret, une feuille de route vers l’intelligence artificielle générale, et surtout… une clause contractuelle, une sorte de « bouton rouge » que Sam Altman pourrait activer à tout moment pour reprendre sa liberté et potentiellement laisser Microsoft sur le carreau.

Alors, quelle est cette « clause d’éclair » ? Que contient ce fameux document secret ? Et est-ce que Microsoft s’est fait piéger comme un débutant ? Restez bien jusqu’à la fin, car ce qu’on va décortiquer ensemble pourrait bien redéfinir tout ce que vous pensiez savoir sur la course à l’IA et sur qui la contrôlera vraiment.

Et si ce n’est pas déjà fait, c’est le moment parfait pour cliquer sur le bouton « S’abonner » et activer la cloche, car vous n’allez vouloir manquer aucune de nos analyses sur ce monde qui change à une vitesse folle.

LE DOCUMENT QUI DÉRANGE

Alors, tout commence avec ce fameux document interne d’OpenAI. Son titre est assez sobre : « Cinq niveaux de capacités générales de l’IA ». Mais son contenu est explosif. Ce n’est pas juste une réflexion philosophique, c’est une véritable feuille de route. Un plan d’action pour atteindre ce que tout le monde dans la tech convoite : l’AGI, l’Intelligence Artificielle Générale.

Imaginez une échelle.

Au niveau 1, on a « l’IA émergente ». Ce sont des outils utiles, mais limités, comme les premiers chatbots ou les systèmes de recommandation. Ils sont bons dans une tâche, et c’est tout.

Au niveau 2, on trouve « l’IA Compétente ». Et là, ça devient intéressant, car selon les rumeurs, OpenAI estime être sur le point d’atteindre ce niveau avec un modèle qu’ils appelleraient en interne « o1 », qui serait déjà bien plus performant que GPT-4. Une IA de niveau 2 peut synthétiser des informations, faire preuve d’un raisonnement basique et être un partenaire de travail fiable sur de nombreuses tâches. Ça vous rappelle quelque chose ?

Ensuite, on monte d’un cran. Niveau 3 : l’IA « Experte ». Là, l’IA dépasse les meilleurs humains dans des domaines spécifiques. Imaginez un médecin IA qui diagnostique mieux que n’importe quel spécialiste, ou un ingénieur IA qui conçoit des puces plus efficaces que n’importe quelle équipe humaine.

Niveau 4 : l’IA « Virtuose ». Elle est capable d’innover et de créer des connaissances nouvelles, de faire des découvertes scientifiques majeures. Elle ne se contente plus de compiler le savoir humain, elle l’augmente.

Et enfin, le Graal, le niveau 5 : l’IA « Surhumaine » ou AGI. Une intelligence qui surpasse l’humanité dans la quasi-totalité des domaines.

Ce document est crucial parce qu’il montre que pour OpenAI, l’AGI n’est pas un rêve lointain. C’est un objectif concret, découpé en étapes mesurables. Ils ne naviguent pas à vue, ils suivent un plan. Et c’est là que leur relation avec Microsoft devient extrêmement tendue.

LA « CLAUSE D’ÉCLAIR » : LE PIÈGE À 13 MILLIARDS

Pour comprendre la bombe que représente ce document, il faut regarder le contrat qui lie les deux entreprises. Microsoft a mis 13 milliards de dollars sur la table. En échange, ils ont obtenu des licences exclusives sur la technologie d’OpenAI. C’est ce qui leur permet d’être les premiers et parfois les seuls à intégrer les nouvelles versions de GPT dans leurs produits. C’est un avantage concurrentiel colossal.

Mais, caché dans les méandres de ce contrat, il y a ce que l’on appelle la « clause d’éclair ».

Et elle est d’une simplicité redoutable. Elle dit en substance que si OpenAI atteint l’AGI – le fameux niveau 5 de leur document – et que son conseil d’administration le déclare officiellement, alors l’accord de licence exclusive avec Microsoft devient caduc. Il est annulé.

Vous mesurez la portée de la chose ? Sam Altman détient un bouton rouge. Le jour où il estime avoir créé l’AGI, il peut convoquer son conseil, le faire valider, et pouf… Microsoft perd son accès privilégié. Du jour au lendemain, l’entreprise qui a le plus misé sur l’IA se retrouverait simple cliente, au même niveau que n’importe qui d’autre, voire pire. OpenAI serait totalement libre, déliée de son principal partenaire et investisseur, avec entre les mains la technologie la plus puissante jamais créée.

L’analogie qui me vient, c’est comme si vous financiez la construction de la fusée la plus rapide du monde pour aller sur Mars. Vous payez tout : le carburant, les ingénieurs, la base de lancement. Et une fois que la fusée a aluni, le pilote vous envoie un message : « Merci pour le trajet, c’était sympa, mais maintenant la planète est à moi. Salut ! ».

C’est vertigineux. Et ça pose une question fondamentale.

LE POKER MENTEUR DES GÉANTS DE LA TECH

La question à 13 milliards de dollars, c’est : pourquoi ce montage ? Est-ce que Satya Nadella, le patron de Microsoft, s’est fait piéger ?

Franchement, j’ai du mal à le croire. Un géant comme Microsoft ne signe pas un chèque de ce montant sans que ses armées d’avocats aient épluché chaque virgule. Ça révèle plutôt, à mon sens, la nature de cette course folle à l’IA.

Du point de vue d’OpenAI, la stratégie est brillante, presque machiavélique. Ils utilisent l’argent de Microsoft pour financer leur rêve ultime, tout en gardant une porte de sortie pour reprendre leur indépendance au moment le plus critique. C’est une façon de rester fidèle, du moins en apparence, à leur mission originelle qui était de développer une AGI « pour le bien de l’humanité », sans être sous la coupe d’une multinationale.

Du point de vue de Microsoft, c’est un pari. Un pari extrêmement risqué. Ils ont probablement misé sur le fait que l’AGI était encore très lointaine, et que d’ici là, leur intégration serait si profonde qu’il serait impossible pour OpenAI de se déconnecter. Ou alors, ils pensent pouvoir influencer, voire contrôler, le conseil d’administration d’OpenAI pour qu’il n’appuie jamais sur le bouton. On a bien vu qu’ils avaient essayé lors de la tentative de renvoi de Sam Altman fin 2023.

Ce qui est fascinant, et un peu angoissant, c’est que cette bataille ne se joue pas sur le terrain de la meilleure technologie, mais sur celui de la sémantique et du droit. Le jour où cette clause pourrait être activée ne dépend pas d’une mesure objective de l’intelligence, mais de la décision d’une poignée de personnes dans une salle de réunion.

Et ça, ça nous concerne tous. Car ce n’est pas juste un conflit commercial. C’est une bataille pour le contrôle de la technologie qui, selon des gens comme Bill Gates ou Jensen Huang, est la plus grande révolution depuis l’invention du microprocesseur.

Pour résumer, on a donc d’un côté un document secret qui trace une route claire vers la super-intelligence, et de l’autre, une clause contractuelle qui peut faire exploser à tout moment le partenariat le plus scruté de la planète tech.

Au-delà de l’anecdote, cette histoire nous dit quelque chose de fondamental sur l’avenir. La course à l’AGI n’est plus de la science-fiction, c’est une réalité économique et stratégique, avec des enjeux qui se chiffrent en milliers de milliards.

Personnellement, cette histoire me fascine autant qu’elle m’inquiète. Elle est fascinante parce qu’elle montre l’ambition démesurée de ces entreprises. Mais elle m’inquiète, car elle confirme ce sentiment que nous, les citoyens, les utilisateurs, sommes les spectateurs d’une partie d’échecs jouée par des géants, avec des règles qu’on ne maîtrise pas, mais qui vont redéfinir notre société, nos emplois, et peut-être même notre définition de l’intelligence.

Je reste convaincu que nous n’avons pas le choix : la machine est lancée, et on ne l’arrêtera pas. Notre seule option est de comprendre le mieux possible où ce train nous emmène pour essayer de nous y adapter et d’en tirer le meilleur. Mais il ne faut pas être naïf : le pouvoir qui se concentre entre quelques mains est absolument colossal.

Et ça soulève une question que j’aimerais vous poser. Pour moi, la vraie interrogation derrière tout ça, c’est : Qui devrait avoir le pouvoir de déclarer l’atteinte de l’AGI ? Est-ce que ça devrait être une entreprise privée comme OpenAI ? Un État ? Ou un comité d’éthique mondial et indépendant ?